Elles vont faire parler d’elles sur la Croisette : voici 10 actrices à suivre de très près au Festival de Cannes. Au programme : films très attendus, révélations prometteuses et premiers rôles fracassants.
June Squibb dans Eleanor the Great de Scarlett Johansson
Meemaw de Sheldon Cooper dans The Big Bang Theory et grand-mère de Boomer dans Good Girls, le visage familier de June Squibb s’affichera enfin au premier plan dans Eleanor the Great, premier long-métrage enthousiasmant de Scarlett Johansson, centré sur une femme de 90 ans confrontée au décès de sa meilleure amie.
Virginie Efira et Jodie Foster dans Vie Privée de Rebecca Zlotowski
Virginie Efira et Jodie Foster dans un même film ? Ce duo risque fort de devenir iconique. Encore plus quand on sait que le film en question, Vie Privée, est réalisé par Rebecca Zlotowski, une cinéaste française qui excelle dans l’écriture de films intelligents et féministes. Et cette fois, il s’agirait d’un thriller policier. Vous avez hâte ? Moi aussi.
Lena Urzendowsky dans Sound of Falling de Masha Schilinski
Révélation éclatante de Kokon, délicat coming-of-age de Leonie Krippendorff, Lena Urzendowsky pourrait s’imposer comme l’un des nouveaux visages du cinéma allemand grâce à Sound of Falling de Masha Schilinski. Une ambitieuse fresque, retraçant le quotidien de quatre filles sur quatre décennies, présentée en Compétition officielle.
Roxane Mesquida dans Que ma volonté soit faite de Julia Kowalski
Incapable de sortir À ma sœur (et sa séquence finale) de mon esprit depuis mon visionnage, je guette de près chaque apparition de Roxane Mesquida au cinéma. Cette fois, on la retrouve à l’affiche de Que ma volonté soit faite de Julia Kowalski, récit de l’éveil du désir, teinté de fantastique, présenté à la Quinzaine des Cinéastes.
Naomi Ackie dans Sorry Baby d’Eva Victor
Blink Twice, Mickey 17… On voit Naomi Ackie partout en ce moment – pour notre plus grand plaisir. Y compris au Festival de Cannes, puisqu’elle est à l’affiche de Sorry Baby d’Eva Victor, film de clôture de la Quinzaine des Cinéastes et récit prometteur d’une amitié féminine salvatrice.
Imogen Poots dans The Chronology of Water
Chatroom (2010), Célibataires… ou presque (2013, oui je cite ce film), Vivarium (2020)… Les apparitions d’Imogen Poots se font plutôt rares sur nos écrans, mais je ne doute pas un instant que Kristen Stewart saura lui offrir un rôle à la hauteur de son (immense) talent dans sa première réalisation The Chronology of Water.
Alana Haim dans The Mastermind de Kelly Reichardt
Deuxième rôle au cinéma pour Alana Haim après Licorice Pizza de Paul Thomas Anderson (2022). Cette fois, elle est à l’affiche de The Mastermind, le nouveau et très énigmatique film de Kelly Reichardt, dont on ne sait pour l’instant pas grand-chose, si ce n’est qu’il raconte un vol d’art ambitieux en Nouvelle-Angleterre dans les années 1970.
Monia Chokri dans Love me tender d’Anna Cazenave Cambet et Des preuves d’amour d’Alice Douard
À l’affiche de deux films cette année – Des preuves d’amour d’Alice Douard à la Semaine de la Critique, et Love Me Tender d’Anna Cazenave Cambet, en sélection Un Certain Regard – Monia Chokri, actrice et réalisatrice québécoise, risque bien de conquérir nos cœurs une nouvelle fois avec son sens de la punchline décapant et sa sensibilité à fleur de peau.
Galatea Bellugi dans L’engloutie de Louise Hémon
Après des apparitions remarquées dans Chien de la casse (2023) ou Gloria ! (2024), on retrouvera Galatea Bellugi dans L’Engloutie, premier long métrage de Louise Hémon. Un film intriguant, se déroulant en 1899 dans les Hautes-Alpes, où l’arrivée d’une jeune institutrice déclenche d’étranges événements.
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